Présentation IPX800 V4 de chez GCE Electronics
Bonjour, aujourd’hui je vais commencer à vous faire la présentation des produits qui m’ont été envoyé par la société GCE Electronics dont je tiens à les remercier. Les produits de la marque sont très connus dans le milieu de la domotique car il est tout à fait possible de les intégrer dans les différentes solutions domotique comme Eedomus, Jeedom, Zecocoon et bien d’autres grâce à son API. Je reviendrais par la suite dans différents articles pour l’intégration de ce boîtier sur ces boxs là. Il sera même possible de pouvoir piloter ce boîtier via des applications comme ImperiHome, Tasker, Automateit, … en fonction de votre besoin.
Ce boîtier à la grande particularité de pouvoir être intégrer dans un tableau électrique via un montage sur rail Din. Ce que j’apprécie également, c’est le fait d’avoir un produit conçu et fabriqué en France ce qui devient rare de nos jours donc autant les mettre en valeurs.
Vous pouvez retrouver l’IPX800 V4 directement sur la boutique officielle GCE Electronics au tarif de 238.00 € en cliquant ICI mais également sur Amazon au tarif de 245.00 € en cliquant directement ICI.
1° Caractéristiques techniques :
Ce que je vous présente concerne uniquement un boîtier IPX800 V4 car il sera tout à fait possible d’en rajouter d’autres pour augmenter le nombre de relais pilotés ou des extensions pour étendre les différentes possibilités de pilotage.
Voici ce qui sera possible d’ajouter comme extension par exemple :
- X24D qui permet de piloter 24 extensions digitales en tout ou rien.
- X-ENO qui permet d’utiliser le protocole ENOCEAN.
- X8R avec 8 sorties relais en mode interrupteur ou télérupteur.
- X-GSM qui permet d’envoyer et de recevoir des SMS pour intégrer dans différents scénarios.
- X-DIMMER permet de commander l’intensité lumineuse de 4 canaux.
- X-4FP permet de commander chauffage jusqu’à 4 zones et 6 ordres via le fil pilote de l’appareil à piloter.
- …
Voici les caractéristiques techniques de l’IPX800 V4 :
- Marque : GCE Electronics.
- Modèle : IPX800 V4.
- Alimentation : 12 Volts continu. (Alimentation vendue séparément).
- Consommation : 0.9 Watt (3.5 Watt avec les 8 relais activés).
- Réseau : 10/100Mbits, HP Auto-MDIX, cable diagnostics , Energy Efficient Ethernet (IEEE 802.3az) .
- Système d’exploitation IPX-OS4 avec Webserver. Sauvegarde en mémoire flash (Pas de carte SD).
- Température d’utilisation : -10 à +60 °c @ 50% humidité.
- Indice de protection : IP20.
- Boitier prévu pour un montage sur rail din ( Prévoir 9 emplacements).
- Produit fabriqué en France.
Voici les caractéristiques techniques de l’alimentation en 12 Volts :
- Marque : Mean Well.
- Modèle : DR15.
- Alimentation d’entrée : 100 – 240 Volts.
- Alimentation de sortie : 12 Volts.
- Nombre d’IPX relié dessus : 1 à 2.
- Puissance maximum : 15 Watts ( 1.25 Ampères ).
- Boitier prévu pour un montage sur rail din ( Prévoir 1.5 emplacements).
2° Déballage et présentation :
Comme pas mal de produit que je reçois actuellement, l’emballage du produit est dans un carton de très bonne épaisseur avec une protection cartonnée indiquant différentes informations.
Sur la partie avant et sur la partie arrière ( de ce côté ça sera en Anglais )de la boîte on retrouve une photo de l’IPX800, le modèle ainsi que quelques annotations :
- Simple à installer ( à vérifier dans la suite de mon article ).
- 100% Autonome.
- Sans abonnement.
Sur les deux côtés on retrouve différents logos en forme d’icônes :
- La maison : Installation fiable de domotique ou d’automatisation.
- L’œil : Une configuration et une programmation simple par un glissé / déposé.
- Le Smartphone : Accessibilité à distance via le Smartphone, tablette ou PC.
- L’antenne : La technologie sans-fil via l’ajout de l’extension ENOCEAN.
- Le réveil : Calendrier, mail, éditeurs de scènes et gestion d’évènement.
- Le bouton Power : Pour le contrôle du chauffage, arrosage, volet roulant, …
- Relier : Pour interfacer entre différentes boxs domotique.
- L’éclair : Possibilité d’intégrer différentes extensions.
- Contact : 8 sorties sur contact inverseurs, 8 entrées digitales tout ou rien.
Une fois ouvert, on remarquera la mise ne place d’une partie cartonnée qui permet d’éviter que le module ne bouge durant son transport.
Dans le contenu de l’emballage, on retrouve :
- Le boîtier IPX800 V4.
- Le manuel d’utilisation en Français.
Concernant l’alimentation, l’emballage est on ne peut plus simple car c’est seulement dans une boîte cartonné dont il est protégé. Sur ce genre de produit, on n’a pas besoin de plus je trouve.
Faisons le tour du boitier :
Sur la face avant on notera la présence d’un descriptif indiquant les fameuses entrées que ce soit analogiques ou digital mais également les sorties.
- 1 : Trois LEDs sont également présentent pour indiquer l’état de chaque éléments :
- PWR : Allumé en vert indique que le boîtier est alimenté électriquement.
- Link : Allumé en Orange indique qu’il est bien relié au réseau interne.
- Reset : Clignote pendant 5 secondes à la mise sous tension et ensuite reste éteint.
- 2 : Le QR Code renvoyant vers le site officiel de GCE Electronics.
- 3 : Rangée de bornier vers les 8 sorties relais.
- 4 : Bornier BUS pour par exemple relier le X-Diplay.
- 5 : Rangée de bornier vers les 6 entrées analogiques.
- 6 : Rangée de bornier vers les 8 entrées digitales.
- 7 : Les différentes connectiques :
- Une prise RJ12.
- Une prise RJ45.
- Une prise pour l’alimentation en 12 Volts via un adaptateur secteur.
- 8 : Bornier pour une alimentation directement vers depuis une alimentation sur rail type DIN comme on pourra le voir juste après.
Pour information : Si vous souhaitez effectuer un « Reset » complet de l’appareil, il faut :
- Dans un premier temps éteindre complètement le boîtier.
- Remettre sous tension.
- Lorsque la LED du voyant Reset clignote en rouge appuyé sur le bouton « Sel ».
- Restez appuyé sur le bouton jusqu’à temps que le voyant rouge s’éteigne.
- Le redémarrage s’effectuera automatiquement.
Sur une vue de plus près et de gauche vers la droite on notera :
- Le bornier BUS.
- La rangée de bornier vers les 6 entrées analogiques.
- La rangée de bornier vers les 8 entrées digitales.
- La prise RJ12.
- La prise RJ45.
- La prise d’alimentation.
Et maintenant sur une vue de plus près sur la partie opposé et toujours de gauche vers la droite, on retrouve :
- Le bornier d’alimentation en 12 Volts.
- Les borniers pour les sorties relais.
Sur la partie arrière on pourra voir qu’il est bien prévu pour être installé dans un tableau électrique avec son crochet de verrouillage.
Il sera également possible de le fixer contre un mur grâce à ses deux encoches.
Sur une vue de profil, on remarque qu’il a bien la même forme qu’un disjoncteur.
Faisons le tour de l’alimentation électrique :
Sur l’un des côtés, on retrouve une étiquette avec de noté :
- Le modèle.
- L’alimentation d’entrée.
- L’alimentation de sortie.
- La norme CE.
On remarque aussi sa forme spécifique pour être installé sur un rail type DIN dans un coffret électrique.
Sur la face avant on retrouve :
- Le potentiomètre permettant de régler la puissance de sortie. Attention par contre de n’y toucher que si vous en avez vraiment besoin car il est pré-réglé d’origine sur du 12 Volts.
- La LED de notification de mise sous tension.
- Le bornier double pour relier l’arrivée de la phase ( L ) et du neutre ( N).
- Le bornier double pour la sortie vers l’IPX800 V4 ( + ) et ( – ).
3° Mise en place :
Alors pour cette partie, j’ai pris plus de temps que prévu et investir un peu car j’ai voulu me faire un tableau de contrôle pour tester mes différents équipements que j’aurais à tester par la suite.
Pour se faire au lieu de brancher à la volée comme j’ai déjà pu voir sur Internet ou différents bloggeurs, je voulais aussi maximiser la sécurité pour moi-même et pour mes proches, faire comme-ci j’étais en condition réel dans mon coffret électrique mais dont je peux déplacer comme bon me semble.
Pour m’aider un peu dans les branchements électrique ce qui me permet un gain de temps non négligeable, je n’ai pas fait appel à un ami mais à mon père dont je tiens à remercier. Pour le moment et pour la réalisation de mon article, seule les sorties « Ch1 » et « Ch5 » sont reliées.
Une fois son coffret de remis en place on peut apercevoir que tout est très bien ajusté.
On notera que les fameux voyants sont bien allumés dans la couleur qu’il se doit. L’alimentation en 12 Volts est cachée derrière un cache en plastique pour que cela soit plus propre car autrement il aurait fallu que je coupe le cache sur toute sa hauteur. Par contre son voyant ne se voit pas mais sur la photo mais on l’aperçoit par transparence.
Et une autre vue d’un peu plus éloignée.
Voici ce que donne ma petite installation avec une prise CPL Devolo qui me permet d’avoir directement le réseau n’importe où que je sois et à portée de main. Cela me permet d’avoir comme lorsque je vous parle de pouvoir effectuer mes tests depuis mon bureau et de pouvoir monter tranquillement mes différents appareils à tester soit dans mon sous-sol ou quand je peux sur la table à manger et de débarrasser très rapidement et surtout au chaud.
4° Recherche adresse IP sur Freebox :
Dans un premier temps après avoir tout branché correctement et de relié à votre routeur, il faudra rechercher l’adresse IP de l’IPX800 pour s’y connecter.
L’équipe a vraiment tout prévu puisque dans sur le site officiel, se trouve une page de téléchargement avec tous les logiciels qu’il faut mais également les dernières versions de Firmware pour procéder par la suite aux mises à jour que l’on verra dans un précédent article.
Pour se faire, il suffit de télécharger le logiciel « GceScanDevice » en cliquant directement ICI ( Le logiciel se trouve dans le dossier logiciels et mise à jour ).
Pour ma part, je n’ai pas eu besoin de le télécharger car ayant une Freebox Revolution, il est apparu automatiquement dans la partie « Périphériques réseau » de Freebox OS.
Pour faire la recherche, il faut d’abord se connecter à cette adresse : http://mafreebox.freebox.fr/
Une fois sur la page d’accueil, il faut se rendre sur la fameuse icône « Périphériques réseau ».
Il faut maintenant rechercher le nom « Microchip Technology Inc. »
Une fois dans les propriétés il est préférable de lui ajouter un nom pour plus facilement le retrouver mais aussi que cela fasse moins « fouillis » parmi tous les périphériques. Vous pouvez si vous le souhaitez en profiter pour changer son icône dans « Type de périphérique ».
Allez maintenant dans l’onglet « Connectivité » et noté l’adresse IP qui lui est attribué.
Pendant que vous y êtes, je vous conseille de lui adresser une IP Statique ce qui permettra de ne pas avoir la surprise qu’un jour vous souhaité vous y connecter et que l’adresse ai changé suite à une coupure de courant ou autre.
Faites un clic droit sur l’icône est choisissez « Configurer un bail DHCP ».
Dans le commentaire, pareil pour plus facilement le retrouver, vous pouvez lui adresser un nom. Pour ma part, je lui ai mis « IPX800 V4 ».
5° Interface utilisateur :
Comme pour toute solution domotique qui se respecte, je vais vous montrer les différentes parties que compose cette dernière via son interface. Certes au démarrage, elle est assez déroutante mais après quelques heures à se pencher dessus, il sera tout à fait possible d’en comprendre son utilisation qui n’est pas plus compliqué que ce que je vous ai déjà présenté.
Si vous souhaitez par contre utiliser votre IPX800 depuis une solution domotique, il n’est pas obligatoire de vous attarder sur cette partie.
Maintenant connectez-vous à l’adresse IP : 192.168.X.XX
Vous arriverez à un « Dashboard » avec des tuiles déjà de mis en place mais dont on pourra modifier à souhait et surtout comme bon nous semble.
En haut à droite on retrouve une tuile nous souhaitant la bienvenue et nous indiquant qu’il est entièrement personnalisable. Pour le moment, vous êtes sur un mode utilisateur.
On remarquera parmi les tuiles concernant :
- Les entrées et les sorties de l’IPX800.
- Les entrées et les sorties virtuelles.
- Le pilotage des volets roulants.
- Un regroupement de plusieurs volets sur une même tuile.
- Une entrée virtuelle clignotante.
- Le pilotage individuel de chaque relais.
- La gestion des ampoules Mi-Light.
- Le pilotage DMX-512.
- Les entrées analogiques.
- Un contrôleur d’impulsion.
- Un compteur d’eau.
- Un compteur d’électricité.
- La date et l’heure.
- La météo de la région à définir par la suite.
En haut à droite, vous pourrez avoir plusieurs Dashboard ( jusqu’à 8 ).
Par exemple sur le Dashboard N°4, il est actuellement adressé aux caméras IP qu’il faudra paramétrer ainsi que les boutons pour la motorisation de cette dernière en lui assignant les adresses URL qu’il lui faut.
Pour commencer à paramétrer les différentes tuiles et aller dans les paramètres, il faut cliquer en haut à gauche sur « Aller vers le mode administrateur ».
Comme vous pouvez le voir, une nouvelle fenêtre apparait avec différentes « Options » dont je vais vous détailler par la suite :
- Réseau.
- Scénario.
- Périphériques.
- Système.
Sur la partie de droite, il sera possible de sauvegarder l’IHM que vous venez de créer ou de modifier, d’ajouter un nouveau Widget sur le Dashboard ou d’ajouter une source de données parmi X-Devices ( XML ), XML, JSON ou météo.
Enfin sur la partie de gauche on retrouve les sources de données inclus comme la météo qu’il faudra paramétrer.
Vous pourrez le remarquer aussi lorsque vous aurez activé ce mode, il sera également possible d’agir directement sur les tuiles :
- Ajouter du contenu.
- Modifier le nom de la tuile.
- Supprimer la tuile.
Et dans la tuile en elle-même il sera possible de :
- Si plusieurs objets inclu dans la tuile, il sera alors possible de déplacer vers le haut ou le bas le périphérique.
- Modifier son contenu
- Supprimer le contenu sans supprimer la tuile.
Dans la partie « Réseau »
Pour cette partie on retrouve la possibilité de modifier :
- L’API.
- Le serveur de mail.
- Les paramètres.
- Le DNS Dynamique.
- Pour la sous-partie « API » on pourra modifier :
- Activer ou non la clé API qui servira par la suite pour l’intégration dans une box domotique.
- Changer la clé API. Par défaut la clé est : apikey
- Changer le port M2M.
- Activer ou non M2M.
- Pour la sous-partie « Serveur Mail » on pourra modifier :
- Le serveur SMTP de votre fournisseur d’accès.
- Le port.
- Le nom d’utilisateur ( votre adresse e-mail ).
- Le mot de passe.
- Activer ou non le SSL.
La chose est vraiment très bien faite puisque vous pourrez tester votre configuration avant d’enregistrer.
- Pour la sous-partie « Paramètres » on pourra modifier :
- Activer ou non le DHCP qui permet d’obtenir automatiquement une adresse IP.
- Le nom de l’IPX800.
- Modifier l’adresse MAC à faire en sachant ce que l’on souhaite faire.
- Le port par défaut est 80.
- Les différentes adresses IP ne sont pas modifiables.
- Activer ou non l’accès par un mot de passe du mode utilisateur qui permet seulement un accès sans modification.
- Adresser un nom d’utilisateur.
- Rentrer un mot de passe utilisateur.
- Activer ou non l’accès par un mot de passe du mode administrateur qui permet un accès comme le mode utilisateur mais également de modifier tous les paramètres.
- Activer ou non la division TA/TB.
- Pour la sous-partie « DNS Dynamique » on pourra modifier :
- Le service de DNS.
- Le nom d’utilisateur.
- Le mot de passe.
- Le nom de l’HOST.
Ceci permet d’adresser une IP Statique lorsque vous ne pouvez pas en adresser une par votre fournisseur d’accès comme je vous l’ai montré sur la Freebox Révolution.
Dans la partie « scénario » :
C’est à partir de ceci que l’on pourra créer nos propres scénarios en fonction de nos besoins. Il sera tout à fait envisageable de pouvoir envoyer une notification lorsqu’un actionneur se trouve actionné ou encore via une plage horaire, un ping d’une adresse IP, …
Dans la partie « système » on retrouve la possibilité de modifier :
Pour cette partie on retrouve la possibilité de modifier ou d’avoir accès à :
- Les informations concernant l’IPX800.
- Régler l’horloge.
- Faire la mise à jour.
- Faire une sauvegarde complète.
- Restaurer une sauvegarde précédemment enregistrée.
- Modifier le Dashboard.
- Faire une remise à zéro.
- Pour la sous-partie « Informations » on pourra savoir :
- Le produit.
- Le type de famille.
- Le numéro de l’adresse MAC.
- La version du firmware actuel.
- La version du logiciel.
- Pour la sous-partie « Horloge » on pourra modifier:
- Le fuseau horaire, par défaut il est sur +1 donc celui de Paris.
- Activer ou non l’heure d’été / hiver.
- Le serveur qui permet de synchroniser l’heure avec Internet.
- Le port.
- Le format de la date.
- Le format de l’heure.
- Pour la sous-partie « Mise à jour » on pourra :
Comme je vous en ai parlé précédemment, pour effectuer la mise à jour, il faudra avant toute chose télécharger le dernier firmware sur le site GCE Electronics.
- Pour la sous-partie « Sauvegarde » on pourra :
Comme son nom l’indique, on pourra effectuer une sauvegarde de son IHM. Je vous conseille de faire une sauvegarde à chaque changement ou dès lors que l’on modifie pour être vraiment qu’en cas de plantage on retrouve tout comme il se doit.
Pas de photo puisque le lancement du téléchargement se fait automatiquement.
- Pour la sous-partie « Restauration » on pourra :
Il faudra simplement aller recherche dans le dossier de vos téléchargements une des dernières sauvegardes effectuées.
- Pour la sous-partie « Dashboard» on pourra modifier :
- Le nom attribué à chaque Dashboard pour encore plus le personnaliser.
- Supprimer des Dashboard si vous n’en voulez pas autant.
- Pour la sous-partie « Remise à zéro » on pourra :
Le but de cette action sera de remettre complètement à plat toutes les configurations effectuées. Il est vivement conseillé avant toute action, de faire une sauvegarde. Attention car cette manipulation n’est pas à prendre à la légère.
6° Conclusion :
Comme je vous l’avais promis en début d’année lors de mes vœux, cette année s’annonce riche en nouveauté et justement les produits GCE Electronics en font parties. D’autres articles sont en cours d’écriture et seront publiés très prochainement comme :
- Effectuer une mise à jour,
- l’utilisation du tout nouveau X-DISPLAY qui est une très bonne solution via son écran de contrôle pour piloter différentes équipements relié à l’IPX800 comme un interrupteur, volet roulant, heure, température, gestion de l’activation d’une alarme, …
- Intégration sous Eedomus.
- Branchement simple d’une lampe ou d’une prise.
- …
Cet équipement est parfait si vous êtes ou allez refaire votre électricité car au moins toute votre solution domotique arrivera au même endroit. La qualité de cette entreprise n’est plus à prouver dans le milieu tellement leurs produits sont de très bonne qualité donc je ne peux que vous les conseiller.
Merci pour cette présentation, ayant acheté cette carte depuis plusieurs mois mais n’ayant pas le temps de mettre mon nez dedans ça va me faire gagner du temps…..hâte de lire la suite. 😉
Salut l’ami,
Ça fait plaisir de voir que tu es toujours présent sur mon blog.
Pas de soucis les articles viendront au fur et à mesure 😉
Super article très bien détaillé.
Vivement la suite.
Je suis très intéressé de voir le fonctionnement car la vrai question que je me pose, c’est de savoir si cela peut remplacer l’utilisation de télérupteur, de modules z-wave,….
et est-ce aussi complet, comme relevé de conso etc??
vite les prochains articles ^^
Hello l’ami…..bon je la sors du carton, pourrais tu me faire un schéma rapide du câblage que tu as réalisé avec le disjoncteur, la connexion sur la carte et le poussoir aussi ?
😉
bonjour, Je cherche un technicien capable d’installer le contrôleur IPX800, dans les départements 74, 01 ou plus loin si nécessaire. Merci