L’entrée dans l’impression 3D chez Artillery c’est la Hornet !!!
Bonjour après quelques mois d’absence au niveau de l’impression 3D, aujourd’hui je vous présente l’entrée de gamme Hornet de chez Artillery.
Le fait de cette absence est dû principalement à l’aménagement de mon nouveau bureau qui me sert maintenant pour faire mes différents tests que ce soit pour la domotique mais aussi un coin avec mes imprimantes 3D.
Après avoir publié très fréquemment des bons plans et avoir lu différents tests sur cette marque, la société m’a contacté pour tester cette imprimante c’est avec plaisir que j’ai accepté ce nouveau partenariat. Je tiens tout particulièrement à remercier mon contact de chez Artillery pour m’avoir envoyé cette imprimante et de vous la présenter maintenant.
Qui dit entrée de gamme ne veut pas dire bas de gamme ou des composants de moins bonne qualité, bien au contraire comme on va le voir dans ma présentation. Comme il est précisé sur le site officielle de la marque, elle se situe parmi les moins bruyantes du marché sans avoir de quelconques modifications à lui apporter.
Le temps de la première imprimante 3D que je vous ai présenté à savoir l’Anet A8 que vous pouvez retrouver ICI n’est pas si loin au niveau temps (enfin tout de même, bientôt 5 ans), mais très loin au niveau des différentes évolutions que l’on a pour le même tarif.
1° Caractéristiques techniques :
Comme vous allez le voir, c’est bien l’entrée de gamme de la marque mais avec des composants très bien choisit, surtout au niveau de la carte mère dont ils ont installé des drivers permettant une réduction du bruit dans les différents mouvements.
Voici quelques caractéristiques techniques :
- Marque : Artillery.
- Modèle : Hornet.
- Carte mère : Artillery 32 bits.
- Drivers : TMC2100.
- Diamètre de fils utilisés : 1.75 mm.
- Diamètre de la buse : 0.4 mm.
- Précision : 0.08 mm jusqu’à 0.32 mm avec une buse de 0.4 mm.
- Matériaux du cadre : Aluminium et ABS.
- Carte mémoire d’impression : Carte SD.
- Écran : Type LCD monochrome avec bouton rotatif lumineux.
- Type d’assemblage : Pré-monté.
- Reprise d’impression : Oui.
- Réglage du plateau : Manuel mais possibilité de rajouter un BL Touch (pré-câblé).
- Vitesse d’impression : Jusqu’à 150 mm/s (conseillé 80m mm/s).
- Prise en charge de multiple filament : PLA, PETG, PLU, ABS.
- Plateau : Texturé de type Ultrabase.
- Température maximum :
- Extruder : 250°.
- Plateau chauffant : 130°
- Alimentation :
- Entrée : 100 / 220 Volts.
- Sorties : 24 Volts.
- Puissance : 350 Watts.
- Dimensions d’impression : 220.00 mm x 220.00 mm x 250.00 mm.
- Encombrement de l’imprimante : 470.00 mm x 410.00 mm x 450.00 mm.
- Poids : 8.00 Kg.
2° Déballage et présentation :
Concernant cet emballage, pas de fioriture, simple un carton marron d’une excellente épaisseur et simplement la marque et le type de modèle inscrit sur les différentes faces de la boite.
Bien entendu j’ai enlevé la mousse alvéolée qui était installé sur le dessus de la boite mais au niveau protection, je crois que l’on ne peut pas trouver mieux puisque l’épaisseur de la mousse est vraiment très conséquente.
Comme on peut le voir, chaque élément à le droit à sa mousse découpée à la forme voulue.
Pour ne pas abimer la tête d’impression, elle se situe en plein milieu du carton avec pas moins de 10.00 cm de mousse de chaque côté.
La mousse est tellement adaptée à la forme de la base que j’ai dû recourir à ma femme pour me donner un coup de main à la retirer de son logement.
Une feuille de protection du plateau (à retirer bien évidemment avant toute impression) nous informe de ne pas toucher ce dernier lors de l’impression sous risque de brulure.
Le contenu de la boite sera en deux parties. Pour la première partie on retrouve :
- La base de l’imprimante.
- Le portique.
Dans le second contenu, cette fois tout rentrait dans le cadre, donc on retrouve :
- Le support de bobine.
- Le manuel d’installation (En Anglais et en Allemand uniquement).
- La tête d’impression.
- Un jeu de clé Allen.
- Un jeu de vis pour la fixation de la tête d’impression.
- Un morceau de tuyaux PTFE.
- Une trousse de rangement.
- Le câble de raccordement muni de son tuyau PTFE.
- Le cordon d’alimentation.
- Un câble de jonction USB.
- Une clé plate.
- Une carte Micro SD et son adaptateur.
- Un contacteur fin de course supplémentaire.
- Un jeu de collier Serflex.
- Un lot de deux roulettes supplémentaires.
- Une buse de rechange.
- Un adaptateur SD vers USB.
Faisons le tour de cette imprimante :
Avant de procéder à son montage, on va faire le tour des différents éléments qui composent cette imprimante.
Pour cette partie on va commencer par le principal à savoir la tête d’impression dont on peut clairement apercevoir le ventilateur du heatbreak en façade (permettant de refroidir le corps de chauffe) ainsi que le ventilateur de gauche pour refroidir les différentes couches lors de l’impression (hormis la première couche). Sa forme en « V » a été étudié pour parfaitement diriger le flux d’air là où il se doit.
Sa forme est très originale avec des formes saillantes et une couleur jaune vif qui est très tape à l’œil mais dont j’apprécie beaucoup. La qualité d’assemblage est vraiment parfaite.
Sur le dessus, on le verra par la suite avec son câble mais le système est vraiment très bien pensé avec le tube PTFE qui passe en plein milieu pour n’avoir qu’un seul câble et ainsi de se dispenser des raccords Pneufits qui à la longue était une galère à retirer certain tube si ces derniers était de mauvaises qualités.
La fixation au portique se fera via trois vis sur les quatre fournis dans le kit.
Voici une vue de l’autre côté du second ventilateur qui viendra refroidir les couches de la partie de droite.
Sur la zone arrière on peut voir toute la partie électronique qui regroupe les différents branchements des ventilateurs ainsi que la sonde de température.
Par la suite je verrais si cela est assez simple à relier un BL Touch pour simplifier le nivellement automatique du plateau car il est précisé que cela est déjà pré-câblé.
Sur une vue d’un autre profil, on peut apercevoir le ventilateur de type centrifuge permettant de renvoyer le flux d’air vers la forme que l’on peut voir précédemment.
Où j’ai été agréablement surpris lors de son déballage, c’est son câble de type « Aviation » (un peu mon domaine) qui permet de minimiser et de rassembler un seule câble différent composants à savoir ici
- Les câbles d’alimentation des différents ventilateurs.
- La sonde de température.
- La cartouche de chauffe.
En son centre, on retrouve le fameux tube PTFE permettant ainsi de faire la jonction entre le Bowden et l’Extruder.
Concernant la base principale, elle est également pourvue d’une structure en ABS permettant de cacher les différents composants mais aussi la structure en aluminium noire.
On peut le voir, une fois la protection retirée, le plateau chauffant et de type Ultrabase que l’on a retrouvé la première fois sur l’imprimante Anycubic I3 Méga dont je vous ai fait la présentation ICI
Je vous rassure tout de suite, la qualité a également été revue puisque l’accroche est encore plus flagrante et le décollement se fait sans aucune pression lorsque celui est complètement refroidi.
Sur le devant, une indication nous informe que le plateau est alimenté directement en 220 volts ce qui va nous permettre une montée en température très rapide comparé à un plateau alimenté en 24 volts (environ 6-7 minutes).
Une étiquette de certification est également apposée nous indiquant ainsi que ce dernier a été contrôlé. Bien entendu, il faudra enlever celle-ci avant de lancer l’impression car lorsque l’on venir ajuster la hauteur du plateau avec la feuille, l’une des deux étiquettes se trouve pile poil au niveau du point de réglage.
Sur la partie avant, le seul point qui aurait pu surement être amélioré mais je pense qu’ils ont réduits les coûts au maximum pour proposer une imprimante si peu cher, se situe au niveau de l’écran avec seulement un LCD monochrome alors que l’on retrouve principalement des écrans tactiles sur d’autres marques.
La navigation dans les différents menus se fait via la molette de droite en tournant dans un sens ou un autre et en appuyant dessus pour valider son choix.
Sur la partie gauche se trouve le logement de la carte SD dont je me sers systématiquement au lieu du cordon USB dont j’ai eu quelques soucis dans le passé avec une impression de plusieurs heures qui avaient plantée à cause d’une perte de débit entre mon PC et l’imprimante. Depuis je n’ai plus réutilisé ce genre de cordon.
Le réglage du plateau se fera très simplement grâce à ses quatre molettes car oui il ne sera pas obligé d’en imprimer car elles seront d’une taille suffisante pour les avoir bien en main ce qui est très bien d’y avoir pensé.
On le voit légèrement mais ce fameux plateau est équipé d’une protection permettant de garder au maximum les déperditions de chaleurs.
La protection se voit également sur cette photo et par la même occasion, un cache en plastique a été apporté pour éviter sur les câbles ne se coupent ou de toucher par inadvertance. Encore un support en moins que l’on aura à imprimer…
Sur une vue un peu plus reculée, on peut voir en son centre le bloc d’alimentation de 350 Watts dont je vais voir par la suite pour changer le ventilateur pour un beaucoup moins bruyant.
La machine repose sur quatre patins anti dérapant qui absorbe parfaitement la moindre vibration car rien ne se fait ressentir sur mon plan de travail.
Pour tout vous montrer, j’ai ouvert le capot de la bête pour que vous ayez un aperçu du comment est fait l’intérieur de cette imprimante.
Par la même occasion, j’en ai profité pour faire un petit check-up des différentes vis sur l’alimentation pour éviter tout risque d’arc électrique. Aucun souci tout est fermement et correctement vissé.
Juste en dessous de l’alimentation, on peut voir le moteur qui j’aurais pensé recevrait un silentbloc mais non, il est directement fixé sur le châssis.
Sur le côté gauche (sur la photo) le prolongement du câble USB se fait via une rallonge qui se termine via une prise sur le côté que l’on verra juste après.
Sur le côté droit cette fois on peut voir la sortie de câble pour les différents raccordements que l’on verra au moment du montage.
Sur une vue de plus près, on constatera qu’un point de colle chaude est apposé sur chaque connecteur pour éviter que cela ne bouge.
Sur le dessus de la carte mère est implanté les fameux drivers qui sont censé être silencieux lors des différents déplacements.
J’apprécie vraiment le câblage management qui est vraiment très propre et bien passé.
Revenons maintenant sur la partie extérieure de la base et sur la partie arrière dont on retrouve :
- Sur le côté gauche :
- La sortie de câble pour l’alimentation du plateau chauffant.
- L’extraction d’air chaud de la partie carte mère.
- Sur le côté droit :
- L’interrupteur de mise en fonctionnement.
- L’emplacement du fusible de type 5 x 20 mm.
- La prise d’alimentation.
- Une étiquette avec les différentes informations électriques.
Sur le côté droit on retrouve la fameuse prise USB que je n’utilise pas par choix personnel comme je l’ai expliqué précédemment.
Pour finir avec la base de l’imprimante on pourra apercevoir la endstop de fin de course muni d’un switch qui maintenant se trouve un peu dépassé mais qui fait parfaitement le job puisque je n’ai jamais eu de soucis à déplorer de ce côté-là.
Passons cette fois au portique qui comme je m’en doutais, il est pré-monté à 95% avec seulement la partie impression à installer.
Sur le côté gauche (à l’envers pour la photo), on retrouve les trois moteurs qui agiront sur :
- L’axe Z qui contrairement aux autres marques, le moteur se trouve sur la partie haute donc la force qui sera exercée sera cette fois en traction. La partie bleue est une conception exclusivement Artillery qui permet de s’affranchir d’un système à double axe Z.
- L’axe Y pour le déplacement.
- L’extruder dont on verra juste après.
Pour pas que les axes ne bougent durant le transport ou lors du montage, ils sont maintenus de chaque côtés avec un Serflex qui faudra bien évidemment enlever.
Sur la partie opposée, encore une chose de bien pensé, il s’agit de. La molette de réglage pour l’axe Y qui permet en cas de besoin de pouvoir retendre la courroie. Pour ma part je pense qu’il aurait été judicieux d’avoir le même système de tension sur l’axe Y.
Une fois dans le sens inverse, on notera l’extruder qui est installé est de type Titan qui est l’un des meilleurs que j’ai pu tester et qui je pense à sur le marché actuellement.
Comme on peut le voir, il dispose d’une molette de réglage pour la pression exercé sur largue crantée pour ajuster la pression en fonction du filament.
Sur le haut de ce portique, on retrouve une chose bien pratique, c’est la poignée de transport qui on va le voir par la suite, me permettra de la déplacer simplement dans mon bureau pour réaliser mes différents print pour le test.
3° Montage de l’imprimante :
Alors je pense que ça sera la partie qui m’a pris le moins de temps, entre le montage en lui-même et le temps de prendre correctement les photos, il m’a fallu moins de 15 minutes pour tout faire.
Dans le manuel d’installation, même si celui-ci est seulement en anglais et en allemand, les images parlent d’elles-mêmes, tout est vraiment bien détaillés.
Pour le début, on va assembler le portique sur son socle via les quatre vis qui sont déjà en place sur les rails. Je vous conseille de les visser à la main pour éviter de louper le pas de vis et ensuite finir avec la clé Allen de fournie.
Attention de bien positionner le moteur vers l’arrière du châssis sinon vous serez bon pour tout recommencer.
Le plus dur reste à faire, il va falloir brancher le connecteur sur le Switch de l’axe Z et ensuite de relier les deux fiches noires entre-elles.
Pareil, la grosse nappe, il faudra venir la brancher sur le bornier situé juste derrière l’extruder (partie haute de l’imprimante).
Vous pouvez en profiter pour installer le support de bobine dans le rail de droite. Je dois avouer que celui est vraiment très bien pensée car il permet de tomber pile poil sous l’extruder et surtout chose très appréciable c’est qu’il ne prend pas de place puisqu’il dépasse légèrement de l’imprimante. Beaucoup mieux qu’un support à côté…
Attention cependant, il ne pourra prendre que des bobines d’un kilo maximum.
Il reste plus qu’à installer le principal, à savoir la tête d’impression. Pareil, très simple, seulement trois vis comme indiqué par les flèches rouges.
Le dégagement des roulettes à été prévue sur la platine puisqu’il permet de changer ces dernières sans avoir besoin de démonter la tête d’impression de son support.
Branchement cette fois du câble/tuyau PTFE sur la tête d’impression….
… et sur l’extruder pour finir son assemblage.
Voici ce que cela donner une fois le tout installé sur la partie avant.
Et sur une autre vue on ne le voit pas très bien mais la vis pour l’axe Z est dans le vide mais qui on le verra, ne gêne en rien pour les impressions.
Pour terminer ce tour de son installation, voici une autre photo de mise en situation avec sa poignée de transport qui par la même occasion à atterri directement dans mon bureau.
4° Impression :
Comme à chaque nouvelle imprimante et à faire de temps en temps, il va falloir procéder à niveler son plateau ou plutôt à aligner votre buse avec le plateau via une feuille de papier à ce que cela frotte légèrement dessus.
Cette étape, personnellement je la fais en plusieurs fois (3 fois le tour du plateau) car plus vous allez être précis à cette étape, plus vos impressions seront propres.
Par exemple, la buse passant à un endroit où le plateau est plus bas, cela entraine généralement une moins bonne adhérence du filament et un risque de décollement de l’objet en cours d’impression.
Une fois l’imprimante allumée, le silence règne au point de se demander si elle est vraiment en route jusqu’à temps de voir l’écran s’allumer pour effectivement nous indiquerque oui elle est bien allumée. Comme on peut le voir sur la photo ci-dessous, il s’agit bien du Marlin en version 2.0.7.2. Après pour les plus expérimentés, il sera possible de mettre à jour ce dernier.
Une fois arrivée sur la page d’accueil, on peut apercevoir différentes informations concernant :
- 1 : La température de la busse.
- 2 : La température du plateau chauffant.
- 3 : La vitesse de rotation du ventilateur exprimée en %.
- 4 : Les distances en fonction des différents axes.
- 5 : La progression de l’impression.
- 6 : Son statut ou le fichier en cours d’impression.
Pour accéder aux différents menus, il suffit d’appuyer sur le bouton et de naviguer avec la mollette. La confirmation se fait en appuyant sur cette dernière.
La première chose à faire sera le plateau à régler mais avant cela il faudra faire un « Auto Home » qui aura pour but de renvoyer les différents axes sur ses butées.
Sur la même page, juste en dessous, on va en profiter pour « Nivelé » le plateau. Pour se faire vous aurez la possibilité de le faire parmi trois façons :
- Soit de déplacer manuellement les axes X et Y (en ayant pris soin des libérer les moteurs).
- Soit dans la fonction « Bed Leveling » :
- Soit un contrôle en 9 points pour vraiment finaliser le plateau car il vient vraiment au bord de chaque angle.
- Soit un contrôle en 5 points (j’avoue quand j’ai fait mon réglage je n’avais pas vue ce contrôle).
Voici une autre photo de la partie réglage avec la possibilité de régler soit même la hauteur de votre buse soit l’axe Z.
Avant de lancer votre première impression, je vous conseille d’insérer votre filament via la fonction automatique. Jusqu’à là je n’avais jamais utilisé cette fonction mais il se trouve qu’elle est bien pratique puisqu’il suffira de présenter votre filament dans l’extruder et ce dernier se chargera de tout, même de la partie purge. Une fois tout ceci fait, il sera bien entendu possible de s’assurer que la purge a bien été effectué en faisant de nouveau cette dernière ce que je fais systématiquement pour qu’il n’y est plus qu’une seule couleur et non un mélange avec la précédente.
Comme je me suis acheté des panneaux perforés de chez IKEA pour mon coin tests, gravure, électronique et impressions 3D, je me suis dit que cela ferait un bon exercice à la Hornet pour me fabriquer différents éléments que j’ai besoin.
Pour se faire, j’ai utilisé le logiciel Cura avec les différents réglages que j’ai trouvé dans le manuel d’utilisation et rien de plus.
Une fois que vous aurez copié le G-Code sur la carte SD, il faudra simplement lancer ce print depuis l’imprimante et vous n’avez plus qu’à attendre le résultat.
Toutes impressions que j’ai effectuées ont été faites avec une hauteur de couches de 0,15 mmm qui est un bon compromis entre vitesse et qualité sans que l’on ne voie trop les hauteurs de couches.
Les supports de paniers ainsi que le compartiment ajouré a également été imprimé sur une imprimante que je vous avais déjà présenté mais comme, il m’en fallait d’autres, je me suis dit que ca serait un bon moyen de le faire cette fois-ci sur la Hornet.
Après avoir imprimé différents éléments en blanc, j’ai voulu tester le filament effet marbre de chez Geeetech.
Comme l’on peut le voir sur les différentes photos, l’accroche sur le plateau se fait remarquablement bien car une fois la première couche effectué le reste suivra. En revanche, je vous conseille d’attendre à la fin que votre plateau refroidisse complètement, le décollement s’en trouve nettement plus simple.
Le buste par contre a été imprimé lui en 0.2 mm.
Conclusion :
On a pu le voir, déjà dès le départ, cela commençait bien puisque je mets un accent sur l’emballage des différents éléments avec une protection protections complètes via une mousse très bien densifiée.
Pour avoir fait cet article avec l’imprimante qui fonctionnait juste derrière moi, c’est bien la première qu’une imprimante ne m’a pas dérangé au niveau des mouvements, car franchement les drivers qui sont intégré à la carte mère sont vraiment très silencieux.
Le seul point qui serait à améliorer pour ma part, serait un ventilateur plus silencieux concernant le bloc d’alimentation car c’est celui que l’on entend le plus lors des différentes impressions que j’ai pu faire. Je pense justement par la suite me pencher sur ce souci là pour la rendre encore plus silencieuse mais également sur l’intégration d’un BL Touch pour le nivellement automatiquement.
Pour cette dernière amélioration je réfléchi quand même car franchement après une vingtaine de print depuis mon réglage, et en l’ayant déplacé deux fois, je n’ai pas eu à retoucher aux molettes.
Pour une première imprimante, je la trouve parfaitement adaptée avec un montage des différents éléments, un simple réglage des molettes, elle est capable d’imprimer largement pendant plusieurs heures sans problèmes.
Que dire à part qu’elle va remplacer certaines de mes imprimantes que j’avais comme l’Anycubic I3 Méga que je vous avais présenté ICI et surtout elle va surtout être utile à mon fils qui veut commencer à imprimer quelques objets et voir créer quelques pièces.
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