Présentation de l’imprimante Artillery Sidewinder X2
Bonjour aujourd’hui je viens vous faire la présentation de la toute nouvelle imprimante grand format de la marque Artillery puisqu’il s’agit de la Sidewinder X2.
Je tiens à remercier mon partenaire Geekbuying pour me permettre de tester celle-ci et ainsi de vous la présenter ?
Il y a quelques mois je vous avais présenté la Hornet de la même marque que vous pouvez retrouver ICI qui vous allez le voir à une très belle évolution par rapport à toutes les imprimantes que je vous ai présenté jusqu’à présent.
Vous vous en douterez, la principale différence visible entre les deux imprimantes sera bien évidemment la taille imposante d’impression ainsi qu’un double entrainement de l’axe Z.
Si l’imprimante vous intéresse, elle est régulièrement en promotion dans ma page des différents bons plans que je vous propose très régulièrement ICI
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1° Caractéristiques techniques :
Une de principale amélioration a été sans conteste l’ajout d’un nivellement automatique qui permet de compenser les variations des défauts d’alignements ainsi que du plateau en lui-même. Attention toutefois il faudra bien évidemment régler le plateau avec la buse comme ce que l’on a vu sur les précédentes imprimantes à savoir les feuilles de papiers entre ces deux dernières.
Voici quelques caractéristiques techniques :
- Marque : Artillery.
- Modèle : Sidewinder X2.
- Carte de contrôle : Ruby 32.
- Drivers : TMC 2209.
- Volume d’impression : 300.00 mm x 300.00 mm x 400.00 mm.
- Résolution de la couche : 0,1 mm – 0,35 mm.
- Diamètre du filament : 1,75 mm.
- Précision XYZ : 0.05 mm, 0.05 mm, 0.10 mm.
- Matériaux pris en charge : PLA, ABS, PLA flexible, bois, PVA, HIPS.
- Temps de chauffage de la buse : < 3 minutes.
- Temps de chauffage du lit de chauffage : 80 °C en moins de 2 minutes.
- Décibels : < 70 dBA.
- Réglage du plateau : Manuellement + BL Touch.
- Plateau : Texturé de type Ultrabase.
- Consommation d’énergie : 220 Volts 700 Watts max (avec lit chauffant allumé).
- Vitesse d’impression maximale : 150 mm/s.
- Vitesse maximale de déplacement : 250 mm/s.
- Température maximale de la plaque de construction : 130 °C.
- Reprise d’impression : Oui.
- Détection de fin de filament : Oui.
- Connectivité : USB, carte TF, clé USB.
- Matériaux : Aluminium et ABS.
- Dimensions : 550.00 mm x 405.00 mm x 310.00 mm.
- Poids : 12 900 Grammes.
2° Déballage et présentation :
Comme pour toutes les imprimantes de la marque, son emballage en carton est d’une excellente épaisseur qui permet de faire face à toutes les situations lors de son transport. Pour la petite information, le carton est arrivé en parfait état.
Sur l’une des faces, seule la marque et le modèles est apposé dessus.
Sur l’une des autres faces, on voit très clairement qu’il s’agit d’une imprimante 3D via son dessin imprimé sur la face.
Une fois ouvert, l’imprimante est parfaitement protégée via une mousse densifiée et surtout ajusté aux différentes dimensions que ça soit de son embase que de son portique.
Sur la vue que l’on voit, on notera la présence de son portique et dans la partie creuse, les différents objets à installer.
Prenant trop de place pour tout placer correctement sur une seule photo, cette partie sera en trois photos. Dans le contenu de la boite on retrouve :
- La base de l’imprimante avec le plateau protégé par une feuille en papier.
Dans le second contenu on retrouve :
- Le portique.
- Une pochette de rangement que l’on voit juste après son contenu.
- Le manuel d’utilisation.
- Le support droit de bobines.
- Le support gauche de bobines.
- La câble d’alimentation.
Dans le dernier contenu, on retrouve ce qui était dans la pochette.
- La pochette de rangement.
- Cinq clés Allen pour les différentes vis de l’imprimante.
- Une vis.
- Une fixation en T.
- Une buse de rechange.
- Deux roulettes de rechange.
- Deux colliers de serrage.
- Une clé USB pour le transfert des différents fichiers.
- Un câble USB pour le transfert des fichiers.
- Une clé plate pour le réglage des roulettes.
- Les axes pour le support des bobines de filaments.
- Une nappe de connexion de rechange.
Faisons le tour des divers éléments de l’imprimante :
Cette imprimante est partiellement assemblée pour ne pas dire complètement car on va le voir dans le prochain chapitre, il suffira de 4 vis pour l’assembler et dans la foulée pouvoir commencer à imprimer.
Comme on eut le voir sur la photo ci-dessous, sur la partie du dessus l’assemblage est déjà prévu dans le bâti de la machine avec comme détrompeur le connecteur du portique.
Le boitier quant à lui est fait dans un acier de bonne qualité, assez lourd il faut l’avouer du fait de ses grandes dimensions. Juste derrière, sous le scotch, un connecteur filaire ressort du boitier mais il ne sera d’aucune utilité car il était prévu à la base pour la première génération.
Sur la partie avant, on retrouve les diverses connectiques à savoir le port USB et un logement pour la carte Micro SD pour le transfert des divers fichiers STL.
Sur la façade se trouve l’écran couleur tactile qui va permettre de tout paramétrer. On en reparle dans un prochain chapitre.
Le petit bouton sur le côté de l’écran permet quant à lui de faire un reset de la machine. Attention toutefois si vous avez des enfants qui aiment toucher à tout surtout après un print de plusieurs heures.
Le plateau est alimenté directement par le 220 volts du secteur ce qui permet une chauffe du plateau très rapide. Pour avoir fait les tests, pour monter à environ 60°C, il a mis moins de 2 minutes.
Son système d’accroche de type Ultrabase, fonctionne tout aussi bien que lorsque je l’avais testé sur l’imprimante Anycubic I3 Méga que vous pouvez retrouver ICI.
Personnellement lorsque j’imprime des pièces vraiment très fines, j’utilise la laque pour les cheveux que je trouve à 1.50 € dans les magasins Actions.
Pour rester sur le plateau, on peut apercevoir que celui-ci est protégé thermiquement par un revêtement spécifiquement pour éviter que le plateau ne refroidisse trop rapidement.
Même si la tête d’impression est pourvue d’un nivellement automatique, il faudra quand même procéder à l’ajustement via les 4 molettes situées à chaque angle.
Comme la rigidité est le maître mot de la marque, le support du plateau est fait dans un alliage d’aluminium anodisé en bleu d’une épaisseur de 4.00 mm.
Cependant point aussi important à souligner, le réglage du jeu dans le plateau ne se fait plus avec 4 excentriques mais 6 pour encore plus de précision.
Comme sur pratiquement toutes les imprimantes que je vous ai présenté se trouve un petit
Interrupteur qui permet de sélectionner entre le 110 et 220 Volts. Vérifier bien qu’il est sous le bon voltage avant de l’allumer sans quoi l’alimentation ne va pas faire long feu.
L’interrupteur de mise sous tensions ainsi que tout son bloc est d’une très bonne qualité. On peut apercevoir qu’entre l’interrupteur et la prise type « USA » se trouve un petit cache renfermant le fusible de protection.
A son opposé, on retrouve une étiquette avec les principales caractéristiques techniques de la machine mais aussi les différentes certifications CE et RoHS.
Cette fois sur le côté droit, on notera la présence d’une prise USB de type B permettant de relier celle-ci à un ordinateur pour le piloter. Personnellement je n’aime pas cette utilisation car cela m’est déjà arrivé une fois avec la première imprimante (Anet A8) d’avoir perdu la connexion entre les deux avec un print de plus de 20 heures. Donc je le déconseille fortement à moins que cela se soit amélioré depuis mais je n’ai pas testé.
Une fois la bête de retourné, celle-ci est apposé sur 4 patins en caoutchouc permettant de réduire au maximum les vibrations sur la surface où elle sera posée.
Un ventilateur permet d’extraire l’air chaud produit par la carte mère et le bloc d’alimentation.
On le voit un peu sur la précédente photo mais sur le moteur et en même temps sur le capot se trouve une bande de garantie permettant ainsi de voir si celle-ci a déjà été ouverte. Pour ma part, comme c’est une imprimante envoyée, je sais qu’elle n’est pas garantie donc j’en profite pour vous montrer l’intérieur de celle-ci.
Une fois le ventre ouvert on peut apercevoir les différents composants de cette imprimante :
- La carte contrôleur de l’écran.
- La carte mère spécifique à Artillery.
- Le bloc d’alimentation.
- L’alimentation générale.
La base est renforcée par-dessous avec des rails en aluminium pour solidifier le tout.
Voici une vue de plus près de la carte contrôleur de l’écran.
Sur cette vue de plus près du bloc d’alimentation, on pourra noter la qualité des branchements électriques. Des cosses sont même installées pour éviter que les brins électriques ne s’écrasent et à force puissent se desserrer. Pour avoir revérifier les différents serrages, je peux vous assurer que tout est correctement serrer. Je ne peux pas l’affirmer mais je pense que chaque vis est serrée à un couple bien précis.
On ne le voit pas très bien mais il s’agit bien d’une carte mère développé par la société Articllery avec des Mosfet qui semblerait être des TMC 2100 permettant un meilleur lissage des impressions.
Concernant cette fois le portique, comme on peut le voir, l’axe des Z est entrainé par deux moteurs reliés entre eux en haut par une courroie crantée.
Sur une vue de plus près des supports de la bague en bronze servant à guider les mouvements dans l’axe Z, ceux-ci sont également fabriqué dans un alliage d’aluminium permettant de solidifier l’ensemble.
Seule la partie bleue visible est en ABS. Je vous conseille quand même d’avoir un bon entretien de cette vis en y mettant de temps à autre de la graisse spécifique que l’on peut retrouver ICI sur Amazon au tarif de 8.50 € que j’utilise depuis plusieurs années sur mes différentes imprimantes.
En revanche où je n’ai pas compris chez Artillery le développement des différents éléments qui composent cette structure faite en aluminium d’une excellente épaisseur, l’impasse a été faite sur la partie haute avec une jonction en plastique moulé, certes d’une bonne épaisseur mais reste quand même en plastique. A voir ce que cela va donner sur les impressions.
La marque est apposée sur cette pièce en relief. Après rien n’empêche de trouver un profilé en aluminium noir (ce qui va être le plus dur) et de l’adapter à la place de cette pièce en plastique.
Comme j’en parlais, voici le système de courroie qui vient relier les deux arbres à vis sans fin de chaque côté.
Les deux arbres sont guidés par des roulements à billes permettant une usure moindre mais également un meilleur guidage qu’une pièce en plastique qui va se détériorer au fil du temps.
Le câble que l’on voit passer juste en dessous de la courroie, c’est le détecteur de fin de filament que l’on verra dans la partie montage.
Encore un point positif que j’apprécie beaucoup, c’est la jonction entre les moteurs, la partie chauffe et la carte mère qui se fait par une nappe ce qui permet de tout rassembler sans avoir un amât de câble qui il faut l’avouer rends l’ensemble beaucoup harmonieux. Une seconde nappe et prévu en plus dans le packaging et Il sera alors très simple de la changer en cas de besoin.
Voici une vue de plus près de la partie électronique qui est caché par ce couvercle en ABS bleu.
Concernant la partie chauffe, on peut voir que le corps de chauffe est protégé par une protection qui permet de garder au maximum la déperdition de chaleur et surtout pour moi le plus important, d’éviter de se bruler car il ne faut pas l’oublier, cette partie monte à plus de 250°C.
Juste à côté on peut apercevoir le capteur de nivellement type « BL Touch » mais en fait il a été développé par la société.
Au niveau de l’extruder, il est de type « Bowden » qui est le top au niveau ce qui permet d’avoir aucun tube PTFE entre le moteur et la partie chauffe. Cela se fait surtout ressentir lorsque l’on veut imprimer du filament « Flex » mais aussi sur les autres filaments. Pour ma part je n’ai jamais eu de soucis ou de roue dentée qui patine sur le filament avec ce genre d’extruder.
Après le seul point où je trouve qu’il aurait pu améliorer c’est surtout sur la partie du levier pour insérer le filament qui est en plastique et non en aluminium qui le rend fragile.
Pour la partie connectique, seulement une seule prise sera à brancher sur le châssis de la machine.
Le connecteur que l’on a pu voir précédemment servira de détrompeur lors de son installation.
Pour finir avec le tour de cette imprimante et avant le montage je voulais vous montrer les nouveaux capteurs de fin de courses qui sont de type inductif qui sont meilleures que les capteurs à leviers. A voir car je n’ai jamais de soucis avec ces derniers. Pour moi ce type de capteurs c’est une nouveauté.
3° Montage et réglage de l’imprimante :
Pour ce chapitre, cela va être l’un des plus rapide car il faudra moins de 5 minutes pour tout assembler. Bon pour ma part j’ai mis un peu plus de temps du fait que je dois prendre des photos pour tout vous détailler.
Sur le châssis se trouve l’emplacement de 2 x 2 vis permettant de venir y fixer le portique avec les vis de fournies.
Pour se faire, il suffit de venir enclipser le connecteur que l’on a vue précédemment dans le logement prévu à cet effet qui sert par la même occasion de détrompeur et de serrer les deux vis. Pour ma part, je mets l’imprimante sur le bord de la table pour plus de facilité à visser.
Une fois que l’on a visser les 4 vis servant à maintenir le portique sur le châssis, il va falloir installer le support de filament.
Pour se faire sur la photo ci-dessus, on a bien le dernier modèle développé par la marque à savoir un système de rouleau mais sur roulement à bille ce qui permet d’éviter que la bobine se bloque lors de l’impression.
Il suffit simplement de venir fixer les deux axes dans leurs roulements respectifs et ensuite de venir y glisser les deux ergots dans le logement prévu à cet effet sur le renfort en plastique bleu. Une fois en place, il faudra brancher le détecteur de fin de filament avec le câble que l’on a vue précédemment.
Voici ce que cela donne une fois l’imprimante installée. On va dire qu’elle prend un peu de place lol
4° Utilisation de l’imprimante et premier pas :
Pour cette partie cela a bien été étudié mais il faudra bien prendre en compte certains paramètres avant de se lancer dans les premières impressions à savoir le réglage du plateau avec comme on a l’habitude la feuille de papier entre le plateau et la buse.
Un réglage spécifique existe pour cette manipulation que je vais vous montrer par la suite.
Lorsque l’on allume l’imprimante on tombe sur cette page d’accueil à savoir :
- 1 : La température de la buse.
- 2 : La température du plateau chauffant.
- 3 : La vitesse de rotation du ventilateur exprimée en %.
- 4 : L’accès aux différents réglages « Tools ».
- 5 : L’accès aux différents paramètres « Set ».
- 6 : L’accès à la clé où les impressions sont stockées « Print ».
Comme on peut le voir, il sera possible de d’avoir accès aux différents paramètres comme :
- 1 : Le réglage de la température de la buse et du plateau chauffant.
- 2 : La gestion de l’extruder.
- 3 : Le déplacement des différents axes avec des incrémentations de 0,1 mm, 1.00 mm et 10.00 mm.
- 4 : Le retour sur les butées respectives en fonction des axes choisis.
- 5 : La partie nivellement du plateau (que l’on voit juste après).
- 6 : La partie changement du filament.
- 7 : L’accès à plus de paramètre « More » (que l’on voit juste après).
- 8 : Le retour à la page précédente.
Pour la partie « LEVEL » :
Sur cette page de configuration elle servira uniquement pour régler votre plateau parfaitement ajusté avec une feuille de papier entre ce dernier et votre buse. Celui-ci est à faire car le nivellement automatique rattrape une bonne partie du défaut de planéité du plateau mais pas non plus 1.00 mm par exemple.
Le réglage se fera sur les 4 angles, via les vis à serrer ou desserrer en fonction de l’écartement au passage de la feuille papier. Le dernier point en son centre sert principalement à voir si le plateau n’est pas concave ou convexe.
Pour la partie « MORE » :
Cette partie sera la seconde étape que vous aurez à vous occuper une fois que le nivellement manuel sera ajusté.
Pour cela, toujours avec votre feuille en papier, il faudra faire son « Z=0 » Pour cela rien de plus simple :
- Cliquez sur Z=0
- Une fois qu’elle a fait ces différents mouvements glissé votre feuille entre la buse et le plateau.
- Ensuite ajusté votre hauteur avec les incrémentations de 0.025 en « + » ou en « -« .
- Une fois ajusté, cliquez sur « EEPROM Save ».
- Vous pouvez maintenant lancer votre « AUTO-LEVEL » qui va être une succession de 25 points de contrôles à différents endroits du plateau (5 X 5 points).
Sur cette même page vous pourrez décider d’allumer ou éteindre la LED servant pour l’éclairage de la surface imprimée. Il sera aussi possible de le faire lorsque vous serez en pleine impression.
Pour la partie « SET » :
Dans cet onglet il sera possible d’accéder à d’autres paramètres plus ou moins utile :
- 1 : Choisir entre la « Carte Micro SD » et la 3clé USB ».
- 2 : La possibilité de continuer l’impression via les fichiers STL.
- 3 : Régler la vitesse des différents ventilateurs.
- 4 : Accès au nom de l’imprimante ainsi que la version du Firmware.
- 5 : La possibilité de désactiver le blocage des moteurs si l’on veut déplacer les axes manuellement.
Pour la partie « PRINT » :
Malheureusement pour cette partie, on ne pourra pas avoir un aperçu des objets à imprimer comme c’est le cas sur d’autres machines de marques différentes. Là il faudra se contenter d’avoir une sorte de fichier texte. Un point à surement améliorer dans une futur mise à jour.
Pour la partie « PREHEAT » :
Dans cette fonctionnalité, il sera possible de préchauffer le plateau et la buse à la température que l’on souhaite :
- 1 : Augmenter la température.
- 2 : Diminuer la température.
- 3 : Choisir entre en le plateau chauffant et la buse.
- 4 : Choisir une incrémentation entre 1°C, 5°C et 10°C.
- 5 : Permet de stopper toutes les chauffes en cours.
5° Quelques impressions :
Cette fois lorsque vous avez bien calibrer la hauteur de buse, on va pouvoir commencer notre première impression. Un petit vase est directement installé sur la clé ce qui permet déjà de donner un aperçu. Cependant si vous voulez imprimer vous-même votre propre impression ou une trouvé sur les différents sites, en utilisant le logiciel Cura, il faudra simplement prendre le profil de l’imprimante « Artillery Sidewinder X1 » qui est exactement identique à celle-ci hormis les options en plus mais qui ne rentre pas en compte dans la configuration à proprement parlé.
Voici cette fois quelques impressions que j’ai réalisées et d’autres qui sont en cours d’impressions pour un futur projet dans mon bureau.
Sur les mains avec une vue rapproché on distingue très clairement les différentes formes ainsi que les veines qui sont juste parfaites.
6° Conclusion :
Que dire de cette imprimante de la marque Artillery?
C’est sans contexte que le volume d’impression est beaucoup plus important que sur sa petite sœur la Hornet que je vous ai présenté ICI et qui fonctionne en parallèle de celle-ci. Jusqu’à présent j’utilisais la Creality CR10 et la Alfawise U20 pour imprimer des pièces de grande dimension. Là avec celle-ci j’ai les mêmes dimensions d’impression mais surtout un gros plus pour moi c’est le bruit.
Pour moi ayant les imprimantes dans mon bureau juste derrière moi, la réduction de ce bruit et un atout indéniable. Même à l’arrêt sans impression en cours, j’en oublie même qu’elle est encore en fonctionnement puisqu’elle se mets d’elle-même en mode « Veille ».
La qualité des impressions est juste parfaite même avec une hauteur de couche en 0.20 mm.
Si vous souhaitez entrer dans le milieu de l’impression 3D avec une dimension permettant d’imprimer 95% de ce que l’on trouve sur les différents sites internet ou même ceux que vous créez vous-même via Fusion 360 par exemple.
En tout cas c’est une belle machine qui permet d’avoir des impressions de grande qualité qu’elle que soit l’épaisseur de couche avec un silence très appréciable.
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